Le Centre de documentation du Secrétariat Exécutif d’ENDA Tiers Monde a abrité le 14 novembre 2016, une table ronde sur le thème : «Regards croisés sur l´opérationnalisation de l´Agenda 2030 : Enjeux et perspectives pour un nouveau paradigme de développement durable». Organisée par ENDA Tiers Monde en partenariat avec l’Ambassade du Grand-Duché de Luxembourg au Sénégal, cette rencontre avait pour objectif de débattre de la mise en œuvre de l’agenda 2030.Débattre des principaux enjeux liés à la mise en œuvre des Objectifs de Développement durable (ODD) à travers une lecture croisée, tel était l’objectif de la table ronde organisée par Enda Tiers Monde et l’Ambassade du Grand-Duché de Luxembourg au Sénégal. Les débats ont été animés par Mme Martine SCHOMMER, Ambassadeur du Grand-Duché de Luxembourg au Sénégal et au Mali, et Directrice de la Coopération au développement et de l’action humanitaire au Ministère des Affaires étrangères et européennes du Grand-Duché de Luxembourg, M. Bassirou DIOP, représentant M. Pierre NDIAYE, Directeur général de la Planification et des Politiques économiques, Ministère de l´Economie, des Finances et du Plan du Sénégal et M. Jean-Philippe THOMAS, en charge du suivi des questions de développement durable auprès du Secrétariat Exécutif d´ENDA Tiers Monde. L’introduction et la mise en contexte de la table ronde ont été présentées par M. Moussa Mbaye, Secrétaire Exécutif d’ENDA. Son intervention a porté sur : « Des Objectifs du Millénaire pour le Développement aux Objectifs de Développement durables : Objectifs et Processus ».
Dans son intervention, Mme Martine SCHOMMER, a souligné l’impérieuse nécessité de concrétiser les engagements de l’Agenda 2030. Pour y arriver, elle pense que quatre conditions doivent être remplies. Premièrement, elle suggère la mise en place d’un cadre de gouvernance sérieux pour que chacun applique sérieusement ce qu’il s’est engagé de faire à travers l’agenda 2030. Même si elle reconnait que la tâche ne sera pas aisée, d’autant plus qu’au Nord, nous n’y sommes pas encore préparés, Mme SCHOMMER pense que chaque acteur doit apporter sa valeur ajoutée pour permettre à l’ensemble d’arriver à une réponse globale. Deuxièmement, la Diplomate a plaidé pour une approche cohérente et holistique. Estimant élevé le nombre des ODD, elle craint des risques de délaissement de certains objectifs au détriment d’autres par les acteurs.
Troisièmement, elle préconise la mise en place d’une démarche commune qui impliquerait le secteur privé.
Quatrièmement, Mme SCHOMMER juge qu’il faut trouver les moyens de mise en œuvre. Pour ce faire, elle souhaite que non seulement la Conférence des Nations Unies d’Addis-Abeba apporte des réponses, mais aussi que les pays du Nord remplissent leurs engagements. Pour finir, elle pense que la réalisation de tous ces axes passe par la promotion et une revue obligatoire et non volontaire.
Lors de sa communication, M. Jean-Philippe THOMAS a d’entrée appelé le Sénégal à faire une contribution volontaire au panel de haut niveau des NU (HLPF), pour communiquer sur sa démarche dans la mise en œuvre des ODD. Pour lui, la mise en œuvre de l’Agenda 2030 ne peut pas se faire de manière autonome. Différents accords, notamment l’Agenda 2030, le cadre d’actions de Sendai sur la prévention des risques de catastrophe, l’agenda 2063 de l’UA, l’accord de Paris, etc., doivent faire l’objet d’un vaste débat pour leur mise en cohérence par rapport aux objectifs de développement du pays (par exemple, au Sénégal le PSE). Rappelant que contrairement aux OMD, le processus d’élaboration des ODD a été participatif, il appelle à ne pas se focaliser sur l’atteinte des ODD en termes stricts d’indicateurs quantitatifs pour 2030, mais plutôt s’intéresser à ce qui se passe effectivement dans les pays en termes de transformations en faveur d’un développement plus durable au cours des 15 années à venir. Selon lui, c’est le seul moyen d’arriver à des transformations économiques, sociales environnementales et de gouvernance. À ce titre M. THOMAS a insisté sur le fait que les critères de développement durable doivent être considérés en priorité. C’est pourquoi, il a appelé à une mobilisation de tous les acteurs, notamment les entreprises, les administrations et la société civile pour arriver à un développement sain et efficace sur le plan économique, social, environnemental et de la gouvernance. Pour y arriver, il pense qu’il faut sortir de l’approche sectorielle pour la cohérence des politiques et privilégier l’intersectorialité. L’atteinte de cette synergie passe selon lui par deux aspects à savoir : un aspect micro-sociétal et un aspect politique publiques à travers le retour à une planification indicative qui s’avère nécessaire. Un préalable se pose tout de même selon le Dr JPT.
Il estime qu’il faut sensibiliser et renforcer les capacités des acteurs, mais aussi lier les accords aux plans nationaux tels que le Plan Sénégal Émergent (PSE) et les directives sous régional de la CEDEAO, etc. Pour terminer, il a appelé à un partenariat entre les Etats qui irait au delà des aspects financiers.
M. Bassirou DIOP représentant M. Pierre NDIAYE, a pour sa part rappelé que le Sénégal était en train de travailler à trouver une cohérence entre le PSE et l’Agenda 2030. « Le PSE a été examiné pour voir dans quelles mesures les ODD sont intégrés. On travaille actuellement sur le plan d’actions prioritaires du PSE pour calibrer tous les projets et programmes qui ont pris en compte les critères ODD. Même si les ODD ont été adoptés en 2015, le processus date de plus loin et on a pris en compte cela dans l’élaboration du PSE ; cela nous a permis d’anticiper », a-t-il déclaré. S’agissant de la cohérence des politiques, il a manifesté son désaccord avec la démarche du Dr THOMAS concernant l’abandon des approches sectorielles. Pour lui, « il faut bien qu’on maîtrise ce qu’on fait dans chaque secteur, pour espérer atteindre les ODD ». Il a en outre évoqué la question de l’équilibre entre régions et territoires, déclarant que des efforts sont faits pour rééquilibrer les investissements, à travers le PSE (notamment vers la partie Est du pays). Sur la question du financement, il a insisté sur la nécessité d’impliquer le secteur privé. S’agissant du partenariat, il a montré sa satisfaction. « Tout va bien pour le PSE. On a mobilisé plus que nos attentes ». Pour lui, il s’agit maintenant de faire des efforts pour générer beaucoup plus de ressources internes et travailler davantage au respect réciproque des engagements. Abordant la question du suivi des engagements, il a invité les participants à consulter le décret du Président de la République instituant un cadre harmonisé de suivi évaluation des politiques publiques. Il a informé l’assistance sur le fait que le comité était en train de travailler et qu’une plateforme internet sera mise en place, à travers laquelle on verrait clairement les résultats, le respect des engagements des uns et des autres.
Les communications des panélistes ont fait place aux débats avec les participants. Faisant la synthèse des travaux, Moussa MBAYE dira que les clés du succès de la mise en œuvre des ODD passent avant tout par la mise en place d’un cadre de gouvernance sérieux. Il a demandé à ce qu’une réelle attention soit portée autant sur le processus que sur les objectifs. Pour lui, la définition et l’entente sur des critères de développement durable pertinent, par rapport aux circonstances nationales, avec des compromis (ou contrats sociaux) autour du développement sont nécessaires. Le SE d’Enda a aussi plaidé pour une planification indicative, avec une approche holistique, cohérente et subsidiaire, misant sur le dialogue et des démarches multisectorielles et intersectorielles. Il a en outre évoqué la nécessité de mener des actions structurelles capables d’amener les transformations et de concrétiser le nouveau paradigme, avec de grands projets mobilisateurs, notamment dans les domaines de l’éducation, de la formation, de l’emploi, de l’environnement et de l’économie sociale et solidaire entre autres. Il a suggéré la mise en place d’un cadre inclusif de partage, de planification et de suivi, coordonné depuis un cadre de pilotage fonctionnel et réellement transversal. Il a par ailleurs abordé la question de la responsabilisation des acteurs du territoire, notamment les collectivités territoriales, en veillant aux équilibres et à l’équité grâce à des mécanismes adéquats de suivi.
S’agissant de la mise en œuvre et du suivi des ODD, il a appelé à la transparence. Pour ce qui est des moyens de mise en œuvre, il a souhaité que des efforts plus importants soient faits au niveau des pays du Sud avec plus d’investissement dans la coopération Sud-Sud et le respect de leurs engagements par les pays du Nord.
Abordant la question des défis, il dira que les défis pour les pays du sud sont nombreux. Il s’agit notamment de la mise en cohérence des cadres de référence (PSE, Agenda 2063, etc.), de l’adoption d’une approche holistique et d’une coordination efficace, de la réalisation de meilleures performances dans la mobilisation de ressources domestiques et dans la transparence financière. Autres défis pour les pays du Sud, le renseignement des données actualisées, l’importance accordée au rôle et à la place des acteurs des territoires, de la société civile, du secteur privé et des chercheurs etc. pour la structuration de la participation, une condition pour concrétiser le « leave no one behind » et pour contrer les tendances actuelles où des politiques urbanistiques exacerbent les inégalités dans l’accès aux ressources foncières. Quant aux pays du Nord, les défis sont de deux ordres. Il s’agira d’arriver à une transition vers des modes de consommation plus soutenables et à une cohérence des politiques pour le développement.
Pour Moussa MBAYE, la réussite de la mise en œuvre des ODD passe par la mise en place d’un cadre de suivi pertinent et adapté. Pour ce faire, il faut qu’au niveau national et régional, une sélection des objectifs et des indicateurs les plus pertinents, capable d’avoir un effet de levier ou structurant sur les autres dimensions soit réalisée. Il a non seulement insisté sur la transparence et la mise en place d’un cadre inclusif de partage, de planification et de suivi, mais, aussi sur le fait que la coopération devait être co-responsable et orientée vers le renforcement des capacités des acteurs.
Pour terminer, le SE d’Enda dira qu’à travers l’adoption des ODD, le monde tente de créer un nouvel humanisme où chacun pourrait s’en sortir. Mais pour ce faire, il faut que les différents acteurs se parlent. D’où l’importance du débat public sur ces questions, à l’image des regards croisés, pour trouver la bonne voie.
Enda est la résultante d’un long cheminement d’esprits éclairés et complices ayant constaté les échecs du développement d’un Sud qui ne parvenait pas à décoller, après une décennie d’indépendance, et d’un « système » déjà trop cloisonné et peu au fait des réalités d’un « tiers monde » qui s’appauvrissait chaque jour un peu plus. Né de cette vision partagée, « ENDA » a d’abord été conçu en 1972 comme un projet de l’Institut africain de développement économique et de planification (IDEP), financé par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) nouvellement créé, et l’Agence suédoise pour le développement international (ASDI).
Puis, à partir de la fin des années 70, Enda est progressivement devenu une organisation internationale non gouvernementale qui, pendant près de 30 ans, a su mettre en œuvre des ressources insoupçonnées pour conter cette pauvreté sans cesse croissante, préserver un environnement qui se dégradait alors dans une relative indifférence, et faire la promotion d’une citoyenneté indispensable à la prise de décisions idoines en phase avec les intérêts des plus démunis. Enda a ainsi été un pionnier dans ses méthodes et dans ses thèmes d’intervention, et a servi de modèle à nombre d’organisations encore présentes aujourd’hui dans ce que l’on nomme désormais le monde du développement.
Né au Sud, pour servir les peuples du Sud, Enda a, depuis toujours, mené son combat, contre la marginalisation socioéconomique des moins nantis et pour le développement durable, à deux niveaux principalement. D’abord, en agissant à la base en faveur de l’amélioration des conditions de vie des groupes vulnérables que sont les habitants des zones urbaines défavorisées et les populations rurales des pays du Sud. Ensuite, en prenant une part active dans la bataille des idées, voire dans la gestion des savoirs, qui implique un engagement sans faille dans le combat contre l’hégémonie de la pensée unique néolibérale, la recherche-action pour le développement, le renforcement des capacités des acteurs, le lobbying et le plaidoyer lors des conférences internationales (sur le commerce équitable, les négociations à l’OMC, l’annulation de la dette, le respect des droits de l’Homme, l’exploitation des enfants, les violences faites aux femmes, …), etc.
L’une des originalités d’Enda a toujours résidé dans sa grande souplesse et sa capacité à intervenir en temps réel sur des problèmes identifiés par ses membres – toujours présents sur le terrain – sans subir l’inertie trop souvent inhérente à la mise en œuvre des projets, parfois frustrante et voire pénalisante pour des populations en difficulté dont la situation évolue toujours plus rapidement que les procédures classiques d’attribution des fonds. Cette flexibilité est née de la synergie qui s’est établie entre certains partenaires financiers et l’Organisation, alors dirigée par son père-fondateur, Jacques Bugnicourt dont la légitimité et la vision, ainsi que les résultats probants ont longtemps inspiré la confiance nécessaire à la défense d’un tel système. Enda a produit des études et recherches qui ont fait référence, telle que l’étude sur « les enjeux de l’après-barrage au Sénégal ». La double compétence réactivité-analyse a fait l’originalité de ses compétences et de ses approches, allant jusqu’à générer un « bourgeonnement d’entités » aux formes si diverses.
Après la disparition de Jacques Bugnicourt, en 2002, conscient que ce bouleversement à sa tête appelait de profonds changements, Enda est alors entré dans un cycle de réflexion intense, féconde et ponctuée par la production de plusieurs documents riches en propositions. Le contexte dans lequel Enda évolue désormais donne une image de son envergure et de sa diversité qui constituent une richesse unique en leur genre. Enda agit sur 4 continents et 14 pays où il remplit 16 missions distinctes, à travers 28 domaines ou champs d’intervention, mises en œuvre par une trentaine de structures opérationnelles autonomes (ayant un ancrage thématique ou national) appelées « entités », soutenues par plus de 40 bailleurs de fonds et s’adressant à près de 50 types d’acteurs. L’Organisation met en œuvre son action sur les plans politique (par le plaidoyer) et stratégique, mais aussi sur le terrain, à travers la recherche-action dont elle est l’une des pionnières, et la fourniture de services directs aux populations.
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Quand on s’interroge sur ce qu’est Enda aujourd’hui, force est de constater que son image dégage un sentiment globalement positif, en interne comme en externe, essentiellement imputé à son vécu et aux acquis historiques. D’où il ressort que pour renforcer ce sentiment général et améliorer la lisibilité de l’action de l’organisation et de ses missions, l’idée d’une refondation s’est peu à peu imposée dans les esprits.
Les déterminants de la refondation d’Enda résultent de la combinaison de sa riche expérience, qu’il faut davantage valoriser, d’une forte volonté interne de changement et de contraintes imposées par la constante évolution du contexte.
Si les deux premiers relèvent essentiellement d’un processus endogène et donc, globalement maîtrisable, d’évolution vers un RESEAU de MEMBRES AUTONOMES partageant la même vision et les mêmes principes, le dernier déterminant tend à forcer le pas sur les précédents, car la contrainte extérieure se décline en deux éléments majeurs qui conditionnent l’avenir d’Enda :
1) le contexte mondial actuel avec qui le nouvel « ENDA RESEAU » se doit de rester en phase, afin de rendre ses choix encore plus pertinents et ses actions encore plus utiles ;
2) les enjeux d’ordre financier qui ont pris en ces temps de crise une importance si grande qu’ils en sont devenus l’une des principales conditions de réussite de la refondation du « système Enda ».
Depuis l’année 2008, suite aux résolutions de l’Assemblée générale de Toubab Dialaw, la décision de transformer l’organisation internationale non gouvernementale ENDA TM en un réseau d’associations nationales, c'est-à-dire d’acteurs non étatiques partageant sa vision et son crédo, a été prise et acceptée par toutes ses composantes. Les motivations qui justifient ce choix de l’organisation en réseau sont de divers ordres :
1. Il s’agit du mode d’organisation le plus adéquat à sa mission : Enda s'engage pour la promotion d'une société plus juste et plus équitable, plurielle et inclusive, par le changement politique, économique et social. De par sa mission, Enda cherche à agir sur la société et non sur un secteur ou un thème donné. Pour cela, il est appelé à articuler son action avec les parties prenantes des différents lieux du changement qu’elle identifie ; de surcroit, au vu de sa dimension internationale et la nécessité d’être présent à toutes les échelles, il a besoin d’un mode organisationnel qui sauvegarde les possibilités d’adaptation et de prise d’initiative autonome de ses différentes composantes tout en développant au maximum les interactions et la cohésion d’ensemble qui justifient le lien.
2. Il s’agit d’un mode d’organisation plus efficace pour dégager une synergie avec les mouvements sociaux aux différentes échelles. En effet, une organisation de type réseau est la seule qui permette une interpénétration d'Enda avec les mouvements sociaux, puisqu'ils fonctionnent eux-mêmes sur le même modèle réseau et construisent leurs coalitions à partir de lui.
3. Il s’agit aussi d’une préférence exprimée par les entités d’Enda qui ont dans plusieurs instances exprimé une nette préférence pour l'option de type réseau qui est celle qui ressemble le plus à l'existant.
L’Assemblée générale se réunit au moins une fois tous les trois ans et prend connaissance des avis écrits des membres qui ne pourraient être présents. Les entités, les membres associés ou pairs participent à l'Assemblée générale, conformément au quota de 33 % qui leur est accordé. Un deuxième quota de 33 % est réservé aux représentants de mouvements populaires ou acteurs communautaires.
L'Assemblée générale adopte et modifie les statuts à la majorité des 2/3 des votants, et le règlement intérieur à la majorité absolue. Elle élit, à la majorité simple, un Conseil d'Administration pour une durée de trois ans. La composition du Conseil d’administration doit refléter les sensibilités et diversités géographiques et culturelles, de genre, de génération et d’origine sociale et de la mission, et être en phase avec la mission principale d’Enda qui est d’œuvrer pour la cause des peuples des pays du Sud, notamment les groupes vulnérables.
L'Assemblée générale approuve le programme de travail d’Enda, statue sur toute autre question qui lui est soumise, par le Bureau exécutif du Conseil d’administration ou par le Secrétaire exécutif. Sur proposition des différentes composantes d’Enda, l’Assemblée générale désigne un Comité d’Honneur qui exerce un rôle consultatif, à titre gratuit. Les membres de ce Comité d’Honneur apportent tout appui moral utile à la réalisation des objectifs d’Enda. Les votes à l'Assemblée générale peuvent se faire par procuration donnée à un de ses membres, ou par correspondance.
Nouvelle édition 2013, pour toutes commandes s'adresser à l'équipe Diffusion, 54 Rue Carnot BP : 3370 Dakar-SENEGAL
Tél 221 33 889 34 09 dif-enda@endatiersmonde.org
Enda milite à RIO+20 pour la reconnaissance de nouveaux modèles de développement durable dont l’objectif premier doit être l’éradication définitive de la pauvreté.
Quelques vidéos d'enda sur le sommet de Rio+20
Dakar – Sénégal
• Renforcement des capacités de la Société civile
africaine
• Lobbying et plaidoyer sur le commerce
international
• Renforcement du dialogue politique
site web : http://www.endacacid.org/
Dakar – Sénégal
• Animation et mise en réseau sur l’urbain
• Gouvernance urbaine
• Lobbying et plaidoyer international
• Réalisation de systèmes d’assainissement
• Développement de l’agriculture urbaine
Dakar – Sénégal
• Renforcement des capacités de la Société civile
africaine
• Organisation des Forums Sociaux internationaux
• Renforcement du dialogue politique
Dakar – Sénégal
• Création d’espaces de concertation en
zone rurale
• Réduction de l’utilisation des pesticides
dans l’agriculture
• Formation aux techniques de l’agriculture
saine et durable
• Lobbying et plaidoyer contre l’introduction
des OGM en Afrique
site web : http://www.endapronat.org/
Dakar – Sénégal
• Actions de sensibilisation contre le sida
• Assistance médico-sociale des personnes i
nfectées
• Prévention des risques liés à la prostitution
clandestine
• Lobbying et plaidoyer international sur le Sida
site web : http://www.enda-sante.org/
Dakar – Sénégal
• Confection et conditionnement de phytomédi-
caments
• Formations en santé publique
• Conservation des espèces végétales menacées
• Expérimentations et diffusion de nouvelles
essences
Dakar – Sénégal
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site web : http://www.leadinafrica.org/
• Gouvernance urbaine
• Renforcement des capacités des acteurs
locaux
• Appui au développement local participatif
• Accès aux services sociaux de base
site web : http://www.endaecopop.org/
Dakar – Sénégal
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• Soutien aux enfants en diffiulté
• Lobbying et plaidoyer international
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Dakar – Sénégal
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• Appui au développement local participatif
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Dakar – Sénégal
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politique
• Accès aux biens et services de base
• Agriculture et développement rural
• Appui aux femmes, AGR et microfiance
• Education alternative
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Dakar – Sénégal
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• Interventions dans le domaine de
l’assainissement
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site web : www.enda-eau.org
Dakar – Sénégal
• Elargissement de l’accès aux services
énergétiques
• Elaboration et mise en œuvre des accords
multilatéraux sur l’environnement
• Analyse et recherche de synergies entre
énergie, environnement & développement
site web : http://www.endaenergie.org/
Dakar – Sénégal
• Plaidoyer et dialogue politique
• Migrations et développement
• Intégration africaine et coopération
transfrontalière
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Rabat – Maroc
• Lutte contre la pauvreté en milieu urbain
• Développement rural intégré et gestion
durable des ressources naturelles
• Education et sensibilisation à la préservation
de l’environnement
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• Renforcement des capacités
• Gestion alternative et valorisation des déchets
• Economie populaire et insertion sociale
site web : http://www.enda.org.ma/
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fiancements
• Animation de réseaux sur le développement
durable
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Ho Chi Minh City – Vietnam
• Restructuration de l’habitat dans les bidonvilles
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• Accès aux services de base
• Aide à la création de microentreprises
Bamako – Mali
• Appui aux enfants et jeunes en diffiulté
• Promotion des initiatives de santé
communautaire
• Promotion socioéconomique des femmes
site web : http://www.endamali.org/
New Bombay – Inde
• Agriculture et développement rural
• Appui à la création de microentreprises rurales
• Appui aux mouvements et associations
de femmes
• Recyclage des déchets et fabrication
d’engrais bio
Antananarivo - Madagascar
• Restructuration de l’habitat en milieux
défavorisés
• Appui aux enfants et jeunes en diffiulté
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Santo Domingo – République dominicaine
• Gestion des ressources naturelles
et agroforesterie
• Promotion des initiatives de santé
communautaire
• Développement urbain et services
de base
site web : https://endadom.wordpress.com/
Bogotá – Colombie
• Gestion environnementale urbaine
• Appui au développement local
• Gestion et recyclage des déchets urbains
• Renforcement des capacités
site web : http://www.endacol.org/
Mme Essma BEN HAMIDA &
M. Michael CRACKNELL
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• Appui à la création de microentreprises
• Animation et mise en réseau
site web : http://www.endarabe.org.tn/
Addis Abeba – Ethiopie
• Développement de l’agriculture urbaine
• Gestion des déchets urbains et assainissement
• Lutte contre le VIH/Sida et création d’AGR
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